Lexique de psychologie: lettre S
- Sadisme : 1. Déviation (ou perversion) sexuelle qui lie la satisfaction sexuelle à la souffrance d’autrui. 2. Tendance à exercer sur autrui des violences morales ou physiques, hors de tout plaisir sexuel. Sakel (cure de) : Méthode de traitement des délires, partiellement abandonnée, fondée sur la répétition de chocs hypoglycémiques provoqués par injection d’insuline.
- Saphisme : Forme d’homosexualité féminine platonique. Satyriasis : Impulsion à répéter l’acte sexuel avec une fréquence inhabituelle chez l’homme. Voir : nymphomanie.
- Sauvegarde de justice : Régime minimum de protection des biens des Incapables majeurs, défini par la loi du 3 janvier 1968. La procédure est simple, applicable en urgence, ne porte pas atteinte à la capacité civile, temporaire. Elle est destinée à tout majeur ou mineur émancipé ayant besoin d’être protégé dans les actes de la vie sociale.
- Scatologie : Grossièreté langagière centrée sur le thème des excréments.
- Scénothérapie : Lecture à haute voix de textes choisis en fonction du patient et de ses problèmes et permettant une action psychothérapique et un effet d’abréaction.
- Schéma corporel : Image du corps formée à partir de données sensitives et sensorielles, d’expériences motrices, d’éléments affectifs et intellectuels, de données relationnelles. La pathologie du schéma corporel peut être neurologique (hémiasomatognosie) ou psychiatrique (hallucinations, cénestopathies, impression de transformation corporelle des schizophrènes ou des drogués).
- Schizoïdie : Manifestation, au niveau du caractère, d’une tendance à la froideur et à la rareté des contacts, à la rêverie et à une certaine inadaptation sociale. Synonyme : introversion, schizothymie.
- Schizophasie : Langage hermétique du schizophrène. Dissociation (ou discordance) perturbant le langage.
- Schizophrénie : Maladie ainsi nommée par Bleuler (1911) afin de renoncer au terme de démence précoce, jugé trop péjoratif. Son origine est diverse : facteurs génétiques, troubles biochimiques du cerveau, psychogenèse, sociogenèse. Elle comporte des syndromes cardinaux : 1. Autisme : repli sur soi ; 2. Dissociation ; 3. Délire paranoïde. Les expressions cliniques de la schizophrénie sont multiples et variées selon la prédominance de lun des trois registres syndromiques, et l’existence de traits de personnalité, obsessionnels, hystériques, phobiques, psychopathiques. On distingue ainsi : — la schizophrénie simple (sur personnalité schizoïde) ; — la schizophrénie paranoïde (avec délire paranoïde) ; — l’hébéphrénie (d’emblée déficitaire) ; — les formes pseudo névrotiques ; — la schizophrénie dysthymique (avec troubles dysthymiques) ; — l’héboïdophrénie (forme psychopathique).
- Schizothymie : Voir schizoïdie.
- Scotomisation : Effacement sélectif et inconscient de la pensée et de la mémoire de faits désagréables.
- Secteur : 1. Dispositif d’assistance psychiatrique comportant hôpitaux, dispensaires, centres de post-cure, foyers, etc., implanté dans une zone géographique d’environ 70 000 habitants et comportant une équipe assurant les soins, le dépistage, le suivi, etc., au contact même de la population. 2. Délire en secteur : type d’organisation délirante ne s’exerçant que dans un seul domaine, une seule thématique et sans tendance à l’extension. Le malade délire dans le même domaine : par exemple délire paranoïaque de Jalousie.
- Sédatif (effet) : Qualifie une substance qui modère l’action d’un organe ou d’un appareil. Sur le plan psychique, médicament qui diminue l’anxiété, la tension émotionnelle et l’insomnie. Provoque la somnolence.
- Séduction : Phénomène inconscient, actualisant des problèmes infantiles, se manifestant par des avances, des attitudes de provocation à l’égard de parents ou d’adultes, visant plus à capter l’amour ou l’attention qu’à aboutir à une réalisation sexuelle, concrète. Voir hystérie, inceste. Sémiologie : Science des symptômes, base indispensable de l’acte médical. Le signe attire l’attention sur une anomalie qui ne prend son sens que confronté au contexte.
- Sénescence : Phénomènes psychophysiologiques qui annoncent la vieillesse, avec baisse du rendement intellectuel et de la capacité d’adaptation, misonéisme, anxiété, etc. Lorsque la sénescence se produit de façon harmonieuse, il est habituel que des compensations surviennent qui optimisent les conduites: l’attention compense la lenteur, la minutie et la persévérance, les troubles perceptifs et la fatigue, etc.
- Sénilité : Aspect pathologique de la vieillesse où dominent les aspects négatifs et déficitaires; La forme la plus commune est l’involution sénile.
- Sensitif (caractère): Type de personnalité oscillant entre un pôle asthénique fait d’angoisse, de scrupules, de peur, de vulnérabilité aux contacts humains, et un pôle sthénique marqué d’agressivité paranoïaque. Le caractère sensitif peut se décompenser sous la forme d’un délire de relation (ou délire des sensitifs, de Kretschmer) : toute rencontre avec autrui est vécue sous l’angle de l’agression et de la persécution.
- Sentiment océanique : Reviviscence d’affects agréables liés à des « souvenirs » de la petite enfance et de la fusion symbiotique avec la mère. Voir adualisme.
- Sérotonine : Neurotransmetteur appartenant à la classe des monoamines, présent dans les voles issues des noyaux du raphé. La sérotonine est connue pour améliorer les capacités d’apprentissage chez l’animal. Quant au déficit sérotoninergique cortical, reconnu dans la maladie de Parkinson, il pourrait jouer un rôle dans l’apparition de certains désordres cognitifs et contribuer à l’apparition d’un syndrome dépressif.
- Sevrage : Suppression d’un toxique ou d’une drogue. S’il y a dépendance biologique, l’arrêt brutal produira un syndrome de besoin : delirium tremens des alcooliques, crampes et vomissements des héroïnomanes.
- Shoot : [Angl.] Action de s’injecter une drogue en intraveineuse (langage populaire).
- Sida (démence associée au) : La présence du virus du sida (HIV) dans le cerveau des patients atteints par la maladie peut dans certains cas se traduire, cliniquement, par des troubles du comportement et du caractère, des difficultés de l’attention, voire des crises convulsives généralisées. L’évolution se fait alors vers la démence accompagnée de troubles moteurs et statiques, mortelle en moins d’un an.
- Simulation : 1. Production volontaire, dans un but utilitaire, des symptômes d’une maladie. 2. Sursimulation: majoration d’une maladie réelle.
- Sinistrose : (délirante) : Thème d'un délire de revendication (voir paranoïa) centrée sur la réparation d'un préjudice corporel. Survient après un accident du travail, un traumatisme sur la voie publique, une intervention chirurgicale ou des soins médicaux. L’évolution se fait vers la multiplication des procédures, contre-expertises, recours, etc.
- Sismothérapie : Thérapie par les électrochocs. Chaque séance se fait sous anesthésie générale avec brève curarisation pour limiter les risques de la crise épileptique induite par le passage du courant électrique transcérébral. Le nombre des séances varie de six à quinze au rythme de trois séances par semaine. Voir : électrochoc.
- Sitiomanie : Besoin impérieux d’absorber des aliments. Se rencontre essentiellement dans les états dépressifs. Voir boulimie.
- Sitiophobie : Refus de boissons et d’aliments.
- Sniff : Dans l’argot des toxicomanes, prise nasale de substances en poudre (héroïne, cocaïne) ou inhalation de produits volatils (solvants, colles).
- Sociabilité : Disposition à assurer positivement les relations interpersonnelles dans une perspective d’échange et de respect mutuel, excluant les rapports de domination ainsi que l’agressivité ou la soumission. La sociabilité est perturbée dans de nombreuses maladies mentales soit du fait de l’inhibition affective, de l’angoisse, des sentiments d’insécurité, soit du repli autistique (autisme), soit d’idées délirantes qui altèrent le jeu interpersonnel (sociothérapie).
- Sociodrame : Inclusion de la totalité d’un groupe ou d’un échantillon de ce groupe en conflit, dans un Jeu dramatique à fonction cathartique. Voir catharsis.
- Sociogenèse 1. Origine dans le milieu et le groupe social de certaines maladies mentales, par exemple états réactionnels. 2. Influence du milieu sur l’évolution et le devenir des maladies mentales, quelles qu’elles soient. 3. Théorie exclusive faisant de la maladie mentale une conséquence de l’agressivité du groupe, de la répression. Voir antipsychiatrie.
- Sociométrie : Science des relations interpersonnelles, se donnant pour but de quantifier les rapports de choix ou d’exclusion ou d’indifférence entre les individus, considérés comme atomes sociaux [Moreno] et permettant d’aboutir à la construction de représentations graphiques (sociogrammes).
- Sociothérapie : Ensemble des mesures prises pour organiser une resocialisation progressive des malades mentaux. Si le groupe est si important pour l’individu (voir sociabilité, sociogenèse), il est normal qu’on l’utilise pour le traitement du malade, d’où le développement des psychothérapies de groupe, de la psychothérapie institutionnelle, de la thérapie occupationnelle, de l’ergothérapie, etc.
- Somatisation : 1. Processus inconscient qui consiste à cacher des difficultés affectives ou morales sous un masque somatique pouvant revêtir toute forme de troubles fonctionnels (céphalées, dysphagie, palpitations, etc.). 2. Une autre acception est proposée dans les nouvelles nosologies (DSM) où le terme remplace celui de conversion hystérique. Ce trouble implique l’existence d’antécédents physiques nombreux analogues aux troubles de conversion, ayant débutés avant l’âge de 30 ans et persistants plusieurs années.
- Somalcoolose : Type d’alcoolisme (classification de Fouquet), caractérisé par une consommation intermittente, compulsive, souvent de façon clandestine, pouvant concerner toutes sortes de boissons alcoolisées (même de l’eau de Cologne), associé, à un sentiment de culpabilité importante. Les ivresses sont rapides et souvent comateuses.
- Somatognosie : Connaissance que l’individu acquiert de son propre corps, grâce à l’intégration de données permises par la maturation neurologique (sensori-motricité, afférence proprioceptive), son développement instlnctivo-affectif, sa socialisation.
- Sommeil : Mode périodique de restauration des fonctions organiques, par la suspension de la vigilance et l’instauration d’un régime particulier d’activité du système nerveux, décelé par électroencéphalographie. Chaque nuit, le dormeur connaît cinq cycles successifs comportant chacun : 1. Une phase de sommeil lent, sans rêve, avec maintien du tonus musculaire, d’une durée de quatre-vingts minutes, elle-même décomposée en cinq stades de sommeil d’inégale profondeur. 2. Une phase de sommeil rapide (paradoxal) avec rêves, mouvements oculaires mais perte du tonus musculaire (rendant l'hallucination onirique sans risque).
- Somnambulisme : Automatisme ambulatoire nocturne comportant une dissociation de la vigilance, et de l’activité motrice, sans rapport avec l’épilepsie mais proche des phénomènes hystériques.
- Sosies (illusion des) : Voir syndrome de Capgras.
- Souvenir-écran : Vocabulaire psychanalytique désignant un type de souvenir infantile caractérisé par sa netteté malgré l’apparente insignifiance de son contenu.
- Spasmophilie : Etat de tension anxieuse et d’hyperexcitabilité neuromusculaire mal défini, caractérisé par des manifestations chroniques de tétanie sans anomalie calcémique patente. Certains y voient l’une des formes contemporaines de la conversion hystérique.
- Spêculaire (hallucination) : Voir héautoscopie.
- Stades (sexuels) : Périodes au cours desquelles, selon la psychanalyse, la libido se fixe en différents points du corps, les zones érogènes, siège d’une satisfaction sexuelle. 1. Stades prégénitaux. L’objet investi est le corps (autoérotisme, narcissisme primaire). On distingue le stade oral (0-18 mois) ; puis le stade anal (18 mois-3 ans) ; et le stade urétral. 2. Stades génitaux : l’objet devient extérieur : le stade œdipien (3-5 ans) est suivi de la période de latence (5-11 ans) ; qui précède le stade pubertaire génital (11-15 ans). Cette croissance affective amène l’individu à la maturation sexuelle. Stéréotaxie (chirurgie stéréotaxique) : Méthode consistant à atteindre précisément une région profonde du cerveau, préalablement définie par ses trois coordonnées spatiales, avec une électrode qui pénètre dans le crâne par un simple orifice de trépanation, et ce, sous contrôle radiographique. En rendant les opérations du cerveau moins mutilantes, les techniques stéréotaxiques permettent aujourd’hui de continuer (dans des indications très limitées) à utiliser avec succès la psychochirurgie.
- Stéréotypies : Attitudes, tics, gestes, phrases, sans signification actuelle, répétés inlassablement, reproduits avec fixité au point d'entraîner des lésions, observés dans l’arriération, les schizophrénies, les délires, les démences. Exemples : écholalie, palilalie.
- Sthénique : Qualifie le caractère énergique, tonique, d’une situation, d’un état psychique.
- Stigmates : 1. Production de lésions cutanées évoquant les plaies du corps du Christ. En dehors de la thèse surnaturelle ou de la supercherie, on explique certains cas par la concentration mentale intense (théorie idéoplastique). 2. Signes objectifs désignant une maladie plus ou moins occulte : stigmate de l’hérédo-syphilis, de la dégénérescence (conception abandonnée).
- Stimulants de l’humeur : Voir antidépresseurs.
- Synonyme : thymo-analeptiques.
- Stimulants de la vigilance : Médicaments qui exercent une action d’éveil par action sur la substance réticulée du tronc cérébral (amphétamines) et qui ont une action inhibitrice sur l’appétit (anorexigènes). Leur emploi n’est pas sans danger du point de vue psychiatrique. Synonyme : nooanaleptiques.
- Stimulus : 1. Tout signal émanant du milieu et déclenchant une excitation au niveau d’un récepteur sensible ou sensoriel. 2. Toute modification du milieu entraînant une réponse psychologique.
- Stress : [Angl.] Agent agresseur (physique ou moral) et réactions de l’organisme à l’agression.
- Stupéfiants : Drogues opiacées naturelles (opium, morphine) ou de synthèse (héroïne) ainsi que la cocaïne et le chanvre qui provoquent une euphorie et une dépendance biologique.
- Stupeur : Sidération des activités psychiques avec mutisme, immobilité, observée dans la mélancolie et la confusion mentale. Voir obnubilation, obtusion.
- Stupidité : 1. Maladie mentale entraînant une obtusion Intellectuelle selon l’ancienne médecine. 2. Etat stuporeux (confusion mentale).
- Subjectif (Syndrome) : Syndrome post-commotionnel, survenant après un traumatisme crânien. Il comporte des troubles de la mémoire, une asthénie, des céphalées, de l’anxiété, des vertiges, une disposition triste de l’humeur. En général, spontanément curable en quelques mois. Voir : sinistrose.
- Sublimation : Mécanisme de défense aboutissant à la dérivation des pulsions sexuelles vers des activités et des buts socialement investis et acceptables.
- Subnarcose (Barbiturique) : Etat de demi-sommeil, induit par l’injection d’une substance du type pentothal, permettant dans la relation avec le médecin une levée d’inhibition et l’expression de conflits émotionnels cachés (abréaction). Il s’agit d’une thérapeutique cathartique (voir catharsis). Son emploi a été critiqué pour obtenir des aveux (« sérum de vérité »), mais il semble qu’on surestime les pouvoirs de la seule subnarcose.
- Suggestibilité : Réceptivité aux influences extérieures sans critique de leur valeur ou de leurs conséquences.
- Suggestion : Processus dans lequel un sujet accueille et fait sienne une idée étrangère et s’y soumet complètement sous l’effet de la suggestibilité, du monoïdéisme, de la conviction. Voir hypnose. Suicide : Meurtre de soi-même ; acte de se donner la mort. On distingue la conduite suicidaire qui concerne les tentatives de suicide qui échouent aussi bien que celles qui aboutissent, et le suicide réussi proprement dit. Les conduites suicidaires revêtent soit la forme d’un raptus soit d’un acte prémédité. L’acte suicidaire utilise les médicaments, la pendaison, les armes, etc. La tentative de suicide a souvent une valeur de communication et d’appel.
- Surcompensation : Tentative d’effacer une infériorité, une culpabilité, un échec en adoptant une attitude opposée et en s’efforçant de gagner et d’obtenir un renversement de la situation. Voir sentiment d’infériorité.
- Surdité verbale : Etat dans lequel, bien que son audition soit Intacte, le sujet ne comprend plus le sens des mots. Voir aphasie.
- Surmenage : Excès dans l’effort physique ou intellectuel, ou dans sa durée d’application résultant de la nature de la tâche, de son importance (hyperactivité) et des conditions extérieures (bruit, tension, harcèlement) ; il peut aboutir à l’épuisement et à la dépression.
- Surmoi : 1. Troisième instance de l’appareil psychique, selon Freud, correspondant aux interdits parentaux que le sujet a fait siens et qui constituent désormais un censeur rigide du Moi et par son entremise, du Ça. 2. Conscience morale et répressive. Voir Mol et Ça.
- Symptomatologie : Ensemble des symptômes présentés par un patient et constituant son tableau clinique.
- Symptôme : Altération d’une fonction ou d’un organe signalant un phénomène pathologique.
- Syncinésie : Mouvement Involontaire qui accompagne une action volontaire. Par exemple, tirer la langue en plein effort. Fréquent chez l’enfant.
- Syncrétique : Mode d’appréhension globale et indifférenciée du monde extérieur et de son propre corps. Au cours du développement normal de l’enfant, la pensée syncrétique précède la perception et la pensée logique de l’adulte.
- Syndrome : Groupement habituel de symptômes, constituant une structure pathologique repérable et classable. Voir nosographie.
- Syndrome d’apnées du sommeil (S.A.S.) : Maladie d’origine inconnue qui perturbe le sommeil. Ce dernier est entrecoupé par des dizaines, voire des centaines, d’épisodes d’apnée, de durée variable (40 secondes à 3 minutes) et de mécanisme variable (soit arrêt respiratoire d’origine centrale, soit blocage des voies aériennes supérieures etc.). Le diagnostic clinique repose principalement sur le ronflement nocturne important et une somnolence diurne excessive.
- Synesthésie : Résonance dans un autre registre sensoriel (par exemple, son) à la suite d’une perception donnée (par exemple, lumière). Observée dans l’expérience psychédélique et dans la période hypnagogique.
- Syntonie : Participation spontanée à l’ambiance, avec fusion affective. Elle est souvent le fait du cyclothymique, pycnique.
- Systématisation : Fixation et organisation d’un délire autour d’un thème déterminé et permanent. Voir : paranoïa.
- Szondi (test de) : Test projectif dans lequel le sujet testé doit opérer un choix parmi six séries de huit visages (en choisissant les deux photos qu’il préfère et les deux qui lui semblent les plus antipathiques) de personnes déviantes ou de meurtriers. Reflète les tendances personnelles du sujet et permet de dégager ses orientations.