KIANG T'ING-HSI. Écrivain chinois
KIANG T'ING-HSI. Écrivain chinois. Né en 1668 à Kiang-sou, mort en 1732. Après ses études, il obtint en 1703 le grade de kin che. En 1717, il devint lecteur de l'empereur K'ang Hi (1662-1721). Dès sa jeunesse, il s'était fait connaître comme peintre de fleurs et comme poète; il publia notamment un recueil de poèmes et d'essais, intitulé Ts'ing t'ong hien tchou tsi. A l'avènement de l'empereur Yong-tcheng (1723-35), il fut nommé président de la commission chargée de publier l'encyclopédie Kou tsin t'ou chou tche tch'eng (1726), commencée sur l'ordre de K'ang Hi par Tch'en Meng-lei. Il avait aussi été vice-président de la commission chargée de rédiger (en mandchou) les Institutes des Ts'ing, sous le règne de K'ang Hi.
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- Charles George Cordon, dit Gordon Pacha1833-1885Soldat courageux et chrétien fanatique ; par ses exploits héroïques contre les T'ai-p'ing dansles années 1860, il mérita le surnom de " Cordon le Chinois ".
- comment l’écrivain peut-il montrer la valeur de la parole poétique ?
- « Le journaliste s'occupe du temps qui passe, l'écrivain du temps qui dure. Le journaliste s'intéresse à l'urgent et l'écrivain à l'essentiel, et il est bien rare que l'urgent et l'essentiel se recoupent ». Commentez et discutez, en vous appuyant sur des exemples précis, ce propos de Jean d'Ormesson.
- Le critique Andrea del Lungo définit l'incipit comme « le lieu stratégique du texte ». En quoi l'ouverture d'un roman est-elle révélatrice du regard de l'écrivain sur l'homme et le monde ?
- Si le roman est capable de peindre le réel, dans quelle mesure cette réalité est-elle objective ou historique ? L'auteur parvient-il toujours à dissocier le réel du fictif ? Enfin, le roman représente-t-il seulement une vision édulcorée et fantasmée des événements ou plutôt une vérité propre à l'écrivain?