Catégorie : Religions
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Exode 714.
Exode 7 14. L'Éternel dit à Moïse : Pharaon a le c œ ur endurci ; il refuse de laisser aller le peuple. 15. Va vers Pharaon dès le matin ; il sortira pour aller près de l'eau, et tu te présenteras devant lui au bord du fleuve. Tu prendras à ta main la verge qui a été changée en serpent, 16. et tu diras à Pharaon : L'Éternel, le Dieu des Hébreux, m'a envoyé auprès de toi, pour te dire : Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve dans le désert. Et voici, jusqu'à présent tu n'as point écouté. 1...
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Exode 191.
Exode 19 1. Le troisième mois après leur sortie du pays d'Égypte, les enfants d'Israël arrivèrent ce jour-là au désert de Sinaï. 2. Étant partis de Rephidim, ils arrivèrent au désert de Sinaï, et ils campèrent dans le désert ; Israël campa là, vis-à-vis de la montagne. 3. Moïse monta vers Dieu : et l'Éternel l'appela du haut de la montagne, en disant : Tu parleras ainsi à la maison de Jacob, et tu diras aux enfants d'Israël : 4. Vous avez vu ce que j'ai fait à l'Égypte, et comment je vous ai por...
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L'un des événements principaux de l'histoire de la Mongolie se situe à lafin du XVIe siècle lors de la conversion des Mongols au bouddhismetibétain ou lamaïsme.
L'un des événements principaux de l'histoire de la Mongolie se situe à la fin du XVIe siècle lors de la conversion des Mongols au bouddhisme tibétain ou lamaïsme.
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Genèse 61.
Genèse 6 1. Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, 2. les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent. 3. Alors l'Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. 4. Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus ve...
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Genèse 171.
Genèse 17 1. Lorsque Abram fut âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, l'Éternel apparut à Abram, et lui dit : Je suis le Dieu tout puissant. Marche devant ma face, et sois intègre. 2. J'établirai mon alliance entre moi et toi, et je te multiplierai à l'infini. 3. Abram tomba sur sa face ; et Dieu lui parla, en disant : 4. Voici mon alliance, que je fais avec toi. Tu deviendras père d'une multitude de nations. 5. On ne t'appellera plus Abram ; mais ton nom sera Abraham, car je te rends père d'une mult...
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Exode 11.
Exode 1 1. Voici les noms des fils d'Israël, venus en Égypte avec Jacob et la famille de chacun d'eux : 2. Ruben, Siméon, Lévi, Juda, 3. Issacar, Zabulon, Benjamin, 4. Dan, Nephthali, Gad et Aser. 5. Les personnes issues de Jacob étaient au nombre de soixante-dix en tout. Joseph était alors en Égypte. 6. Joseph mourut, ainsi que tous ses frères et toute cette génération-là. 7. Les enfants d'Israël furent féconds et multiplièrent, ils s'accrurent et devinrent de plus en plus puissants. Et le pays...
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Exode 91.
Exode 9 1. L'Éternel dit à Moïse : Va vers Pharaon, et tu lui diras : Ainsi parle l'Éternel, le Dieu des Hébreux : Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve. 2. Si tu refuses de le laisser aller, et si tu le retiens encore, 3. voici, la main de l'Éternel sera sur tes troupeaux qui sont dans les champs, sur les chevaux, sur les ânes, sur les chameaux, sur les b œ ufs et sur les brebis ; il y aura une mortalité très grande. 4. L'Éternel distinguera entre les troupeaux d'Israël et les troupeaux...
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Les Maîtres des SavoirSi tout n'a pas commencé avec Padmasambhava, il n'en demeure pasmoins la figure fondatrice du bouddhisme du Tibet.
Les Maîtres des Savoir Si tout n’a pas commencé avec Padmasambhava, il n’en demeure pas moins la figure fondatrice du bouddhisme du Tibet. C’est à l’appel de Trisong Detsen, sur les instances du philosophe Santarakshita, que le grand sage s’en vint pacifier sur le haut plateau les forces adverses qui faisaient obstacle à l’affermissement de la Bonne Loi. Né au royaume semi-mythique d’Orgyen, que certains situent au nord-est du Cachemire et d’autres aux confins du Bengale, son existence réelle n’...
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Maître et discipleToutes écoles confondues, le bouddhisme fourmille d'anecdotes pouren témoigner : choisir son maître n'est pas une mince affaire.
Maître et disciple Toutes écoles confondues, le bouddhisme fourmille d’anecdotes pour en témoigner : choisir son maître n’est pas une mince affaire. Déjà du temps de çakyamûni, quand l’Éveillé s’apprêtait à quitter ses proches pour le nirvana et que ses disciples se lamentaient de perdre leur guide spirituel, le Bouddha les enjoignit d’être à eux-mêmes “ leur propre flambeau ”. Plus encore peut-être que dans les autres pays, au Tibet comme dans les écoles du ch’an et du zen, le gurû joue un rôle...
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A Lumbini, dans le nord de l'Inde naît Siddhârta Gautama du clan desSakyas.
A Lumbini, dans le nord de l'Inde naît Siddhârta Gautama du clan des Sakyas. Il découvre que la réalité profonde de la vie humaine est la souffrance. Parvenu à l'éveil, devenu le Bouddha, il transmet son enseignement et indique le chemin de l'éveil.
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Le kâpâla et le phurbu, coupe et dague rituellesTriompher des
Le kâpâla et le phurbu, coupe et dague rituelles Triompher des Ennemis Intérieurs, c’est peut-être l’un des paradoxes les plus frappants du bouddhisme à la manière tibétaine : d’un côté, les maîtres et les pratiquants doivent à leur force paisible, à la qualité de leur écoute et à leur sérénité une renommée universelle – et de l’autre abondent les représentations de divinités farouches, courroucées ou terribles, qui provoquent de prime abord un mouvement de recul, de rejet si ce n’est de peur. I...
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Chenrésig, le patron tutélaire du Tibet" Celui qui regarde avec les yeux clairs ", ou " Celui qui entend lesprières du monde, ou encore " Le seigneur qui baisse son regard surles souffrances du monde ", est sans conteste une figure de proue de latradition tibétaine.
Chenrésig, le patron tutélaire du Tibet “ Celui qui regarde avec les yeux clairs ”, ou “ Celui qui entend les prières du monde, ou encore “ Le seigneur qui baisse son regard sur les souffrances du monde ”, est sans conteste une figure de proue de la tradition tibétaine. L’un des Éveillés les plus marquants du Mahâyâna, ce bodhisattva est le patron tutélaire du Tibet, d’autant que le roi Songtsen Gampo est considéré comme son incarnation. À l’instar de ses pairs, sa caractéristique essentielle es...
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Le mantra sacré" Om Mani Peme Hum " : cette litanie millénaire est à la fois lesymbole de la vie bouddhiste au Tibet et l'expression d'une manièred'être.
Le mantra sacré “ Om Mani Peme Hum ” : cette litanie millénaire est à la fois le symbole de la vie bouddhiste au Tibet et l’expression d’une manière d’être. Elle a fait l’objet de centaines d’exégèses, de milliers d’interprétations. Les Tibétains la prononcent om mani peme hum, et sa traduction la plus simple serait om joyau du lotus hom. Pour le commun des fidèles, sa récitation incantatoire suffit à assurer son bien-être spirituel pourvu qu’il y mette la sincérité requise. Pour l’adepte avancé...
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Le Bouddha exprime dans son sermon les « Quatre Nobles Vérités » quirésument la condition de la vie humaine et indiquent la voie à suivrepour vivre correctement.
Le Bouddha exprime dans son sermon les « Quatre Nobles Vérités » qui résument la condition de la vie humaine et indiquent la voie à suivre pour vivre correctement.
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Bonnets Rouges et Bonnets JaunesSous l'aile protectrice des Trois JoyauxAttribut de certains rites, la Coiffe est devenue signe emblématiquedes écoles dites des Anciens (rouge) et des Modernes (jaune).
Bonnets Rouges et Bonnets Jaunes Sous l’aile protectrice des Trois Joyaux Attribut de certains rites, la Coiffe est devenue signe emblématique des écoles dites des Anciens (rouge) et des Modernes (jaune). Au cours de l’évolution locale de la doctrine bouddhiste, quatre ordres principaux sont apparus sur le haut plateau tibétain. Après une première vague de traduction des textes fondateurs, on assiste au VII e siècle à la naissance de l’école Nyingma, dont les adeptes sont généralement appelés l...
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l'offrandePartie intégrante de la méditation et de la liturgie, l'offrande esttoujours un geste envers la divinité : humilité, louange, obéissance,prière ou remerciement.
l’offrande Partie intégrante de la méditation et de la liturgie, l’offrande est toujours un geste envers la divinité : humilité, louange, obéissance, prière ou remerciement. C’est une manière de relation directe témoignant du respect ou de la dévotion du fidèle. Les offrandes de lumière et d’eau sont les plus courantes : une lampe brûle en permanence sur tout autel tibétain. Le Précieux Maître lui-même, Padmasambhava, avait affirmé il y a une douzaine de siècles de cela que l’eau des hautes terr...
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Le Foudre et la clochetteFoudre et clochette, vajrâ et ghanta, dorje et drÎlbu : les objets les plususuels sur la Voie de diamant (Vajrayâna) forment à la fois le symbolele plus ordinaire et le plus complexe du bouddhisme tibétain.
Le Foudre et la clochette Foudre et clochette, vajrâ et ghanta, dorje et drÎlbu : les objets les plus usuels sur la Voie de diamant (Vajrayâna) forment à la fois le symbole le plus ordinaire et le plus complexe du bouddhisme tibétain. Rites et cérémonies ne sont guère concevables sans eux, de la méditation solitaire aux vastes rassemblements qui marquent la vie monastique. Ce symbole est associé à l’incorruptible pureté du diamant, à la vérité qu’aucune force, aucune arme ne saurait détruire ; i...
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Le passage de la mortIntégrer la mort à la vie fait partie du quotidien tibétain, du moinspour nombre d'entre eux.
Le passage de la mort Intégrer la mort à la vie fait partie du quotidien tibétain, du moins pour nombre d’entre eux. L’une n’existe pas sans l’autre, et la notion cardinale d’impermanence ou de devenir, autorise à y percevoir la pierre de touche d’une manière d’être. “ Tôt ou tard, dit le dalaï-lama, la mort viendra. Y penser et s’y préparer peut se révéler utile quand elle arrive. Si vous croyez juste en cette vie, et n’acceptez pas qu’elle se poursuive, il n’est guère important d’être ou non c...
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Début de la rédaction des écritures bouddhiques en pali, langue dérivéedu sanscrit.
Début de la rédaction des écritures bouddhiques en pali, langue dérivée du sanscrit.
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Le Mâlâ, le rosaire bouddhiqueLe Mâlâ est le rosaire manière bouddhique, l'un des attributs essentielsdu pèlerin et de plusieurs divinités.
Le Mâlâ, le rosaire bouddhique Le Mâlâ est le rosaire manière bouddhique, l’un des attributs essentiels du pèlerin et de plusieurs divinités. Composé de cent huit grains, il sert à dire des prières, mais surtout à compter le nombre de répétitions de telle ou de telle formule, récitée à l’intention d’une divinité choisie. Selon les écoles et les déités, et qu’ils soient moines ou laïcs, la plupart des fidèles s’en tiennent en général à la divinité dont ils se sentent proches, au mantra qu’ils ont...