Catégorie : Divers
-
L'herm�neutique et l'interpr�tation
S~rie L, ES. •Le mot• sens~ recouvre une grande diversité d'acceptions. Dans la perspective gnoséologique qui nous intéresse ici. le sen s se définit comme l'idée, le concept représenté par un signe ou un ensemble de signes : c sens •est alors synonyme de• signification "(cf. le sens d'un mot, d'un geste). • Mai s cette signification prend souvent une valeur métaphysique a u point que le sens d e vient le ca ractère intellig ible de quelque...
-
Le pouvoir
i. Série L .• O~ ~PPROCffE GtNÉ~LE • Autorité sur autrui, le pouvoir apparaît comme un fait social élé· mentaire : là où il y a un groupe, il y a rapport de forces et, par consé quent, relation dominant-dominé. • la relation de pouvoir recouvre cependant des formes très diverses. Elle peut impliquer, en effet, des personnes physiques, des personnes morales, des institutions, des groupes sociaux. 8() LES FO~ES 1>11 POUVOll! POLITIQUE •...
-
La v�rit� (cours synth�tique)
Tout es séries. • Le problème de la vérité est au cœur de la réncx1on humaine, puisque c'est elle que recherchen t la religion , la science, la philosophie : chacun de nous nourrit , en effet, le désir de connai tre la vérité ultime qui nous révélerait le sens de notre existence, ce que nous sommes, notre origine et notre lin. • Mais pouvons-nous aneindre la vérité ? -Le sceptici)me, en montrant qu'aucune affirmation ne résiste au doute, nie...
-
L'HISTOIRE
Toutes sér i es. • On peut entendre par histoire : -Un ensemble de connaissances concernant la réalité des faits passés , leur recensement constitué selon une méthode spécifique et sur lequel tous les hommes sont susceptibles de s'accorder. L'histoire est alors une chronique exacte. - Un tel ensemble, mais où les faits sont expliqués, c'est-à-di re liés entre eux par des déterminations objectives vérifiables, par des lois. L'histoire prét end alo...
-
LE LANGAGE
03 Pa@ [l{f)UJOOOO Séri es L, ES, S. • Au sens large, le concept de langage englobe 1ou1 code. c'es t-à-dirf? tout sys tème de signes, utilisé pour établir une communicalion (langages gestuels, langages formels, langages symboliques, etc.). • Au sens res treint, il désigne l'ensemble de la langue (c'est-à-dire le code linguistique en tant que sys tème abstrait) et de la parole (c'est-à dire l'utilisa tion, la réalisation de la langue par d...
-
L'irrationnel
Série L. • La notion d'irrationnel se révèle ::issez ambiguê. L'irrationnel se défi nit, en effet, comme ce qui est étranger ou contraire à la raison. Mais par raison on entend soit la faculté de raisonner , c'est-à-dire de combi ner logiquement des concepts et des propositions, soit la faculté de bien juger, c'est-à-dire de discerner le vrai du faux, le bien du ma l, etc., soit enfin un type particulier de connaissance qui est celui de la...
-
L'ETAT (COURS)
Séries L, ES, S. • Au sens large, on entend par ~tat une société organisée, ayant une administration politique, juridique et administrative autonome, et au sens restreint l'ensemble de ces administrations. •L'État apparait aussi comme un pouvoir qui se donne pour t' Autorité souveraine. Ce pouvoir se caract érise comme ce lui de définir lui-même ce qu'est le droit, de s'ériger en seul juge dans l'application de ce droit et de refuser tou...
-
LA MORT
Sér ie L. • Seul parmi les êtres vivants l'homme a une claire conscience de la mort. Cette conscience peut avoir une origine simplement empirique (l'homme constate la mort de son semblable) ; mais on peut aussi consi dérer, avec Max Scheler et Heidegger, qu'elle constitue une structure a priori de la conscience humaine, et donc qu'elle lui est immanente. • L'intensité de la conscience de la mort semble varier d'une per sonne à l'autre,...
-
-
Les �changes (cours)
Séries L, ES. Üo llPPftOCffE GÉflÉfel'LE e Le phénomène de l'échange est une caractéristique fondamentale des sociétés humaines au point qu'on peut considérer toute société comme un système d'échanges. •Les tro is principa les formes d 'éc hanges sont: -l'échange d'informations , à travers le langage, principalement , et tous les au tr es codes non linguistiques (cf. chapitre sur le langage , p. 50) ; -l 'éc hange de personnes , à tr~vers les sy...
-
L'imagination
Série L. • L'imagination esl : -la faculté de former des images: c'est l'imagination reproductrice; -la faculté de combinerdes images : c'est l' imagination créatrice. • L' image est une reproduction ou une représentation soit concrète. soit mentale de ce qui a été perçu. • L'image mentale est donc liée au souvenir et au concept. Mais l'image se distingue du souvenir dans la mesure où elle est en elle-même intem porelle, tandis que le...
-
LA MEMOIRE
Séries L, ES. Encore que les psycho logues varien t dans leurs ana lyses de la mémoi re et de ses formes, on en distingue généralemen1 deux. • La mémoire élémentair e ou sensori-motrice : -C'est la mémoire perceptive qui permet au sujet de reconnaître les objets et phénomènes constitua nt so n environnement, et qui, par conséquent, assure la cohérence des comportements el autor i se l'àclion. -La reconnaissance de l'objet (la liaison entre la...
-
La justice
Séri es L, ES, S. • La justice, au sens moral, est à la fois un principe exigeant l'appli cation du droit et la norme idéale de ce droit. Nous retrouvons donc ici le problème des rapports entre droit idéal et droit positif (cf. chapitre précédent). En d'au1res termes, la question philosophique fondamentale est de savoir s'il existe ou non une justice indépend;imment des lois. Les deux formes de justice •On distingue traditionnellement : -...
-
La perception
Série L. • La perception est la fonction par laquelle l'esprit acquiert une connais sance apparemment immédiate des objets extérieurs. • Elle suppose donc : -une conscience (sujet percevant) ; -une réalit6 étrangère à celle conscience (objet perçu). 80 PERCEPTION ET SENSllTION • Pour l'intellectualisme classique, il convient de distinguer la sensa tion et la perception : -la sensation est l'état de conscience brut et élémeniaire immédia temen...
-
La libert� (cours synth�tique)
Tout es séries. •Au sens large, la liberté est l'étal de celui qui fait ce qu'il veut, qui choisit lui-même ses activités, indépenddmment de toute contrainte étran gère. • D'un Point de vue social et politique, la liberté PoSe le problème du rapport de l'individu à la société, des volontés particulières à la volonté collective, aux lois et au droit (cf. chapitres sur la soc iété, l'État, le pouvoir, la violence et le droit). e D'un po...
-
Le bonheur
Série s L /S. • • Tous les hommes, observait Pascal, recherchent d'èlre heureux, cela est Sclns exception; quelques différents moyens qu'ils y emploient, ils tendent tous J ce but. • • Le bonheur se définit comme un état de complète satisfaction qui remp lirait toute la conscience. Le prob l ème est de savoir s'il est possible de parvenir à un tel état, et ~i cet étal constitue bien la fin dernière de l'homme. • Pour la philosophie a...
-
L'illusion
Sé rie L. Üo llPPltOCffE GÉ,.ÉRl'LE • L'illusion est une erreur naturelle (de perception. de jugement ou de raisonnement) provenant d'une apparence. •L'illusion se distingue de la simple erreur en lant qu'elle possède un caractère nécessaire: elle continue, en effet, de s'impose r à l'esprit même quand celui-ci en a reconnu la fausseté (le So lei 1 continue de m'apparaître en rotation autour de la Terre bien que je sache que c'est la Terre qui...
-
-
Qu’est ce que la N�gociation ?
Sommaire Chapitre I : Qu’est ce que la Négociation Chapitre II : Méthode et pratique de la négociation commerciale Chapitre III : Conduite de la négociation commerciale Chapitre I : Mlle KEBE Cour de négociation commercial UCAO/ISCG/ UUZ Page 1
-
Aïn Labakha
~ • Y. V' '.l.~ "" .;: .. ~-"'~-!>'.;~, ~.. ...,.. ---- - 170 ~:!~ _:Y~ tTE ET SON HISTOIRE Aïn Labakha : les momies du peuple (2) ----.
-
Cheikh Obeid
-~~-- --~ --- 8312 L~ÉCiYPTE ET SON HISTOIRE Cheikh Obeid, un haras aux portes du désert (1) À la fin de l'année 1917, Lady Ann Blunt , baron ne de Wentworth et pe tite -fi lie de Lord Byron, s'éteint dans sa demeu re de Cheikh Obeid, près du Caire. Si elle s'inscrit dans la lignée de ces la dies anglaises amoureu ses de l'Égypte, elle est connue avant tout com me l'un des grands éle veurs qui, à la fin du...
-
Le d�sir (cours de philo - TL)
1 / 2 Le désir Saint Augustin raconte, dans ses Confessions, comment la passion des jeux du cirque envoûta son ami Alypius : des camarades d'études l'emmenèrent, malgré ses protestations et ses récriminations, à l'amphithéâtre où ces jeux étaient donnés. Il leur disait : « mon corps, vous pouvez le traîner et l'installer là-bas, mais est-ce que vous pouvez fixer de force mon esprit et mes yeux sur ce spectacle ? J'y serai comme abs...