Catégorie : Divers
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Le probl�me de la v�rit�.
TROISIÈME PARTIE PH ILOSOP HIE GÉNÉRALE CHAP ITRE XXXVIII Le problème de la véri té. I. - VALEUR ET LIM ITES DE LA CONNAI SSANCE. Nous ne doutons guère, en pratique, des données des sens, non plus que des connaissances d'ordre scientifique. Et pourtant, quand nous comparons nos sensations (couleurs, odeurs, saveurs, sons, -chaleur, froid, etc.) avec ce que la physique nous r�UZ.! nous sommes confondus par la disjonction opérée entre ce que nous sentons...
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L’attention.
CHAP ITRE II L' attenti on. I. - INTÉR ËT ET AFFECT IVITÉ. C'e st par un affaiblissement du sens initial que le verbe attendre a fini, chez nous, par signifier : " demeurer jusqu'à l'arrivée de quel qu' un, de quelque chose" ... Primitivement, attendere (lat.), c'est ad-tende re, "tendre vers ... », qui est le propre de !'attention . Il se retrouve aussi -notez-le bien -dans l'une des acceptions du mot atte _nte (en psychologie), au sens spéci...
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La justice et l’�galit� des personnes. — La charit�. — Solidarit� et communaut�.
CHAP ITRE XXX La justice et l'égalité des personnes. - La charité. - Solidarité et commu nauté. I. - LA JUSTIC E EST UNE VERTU. Les quatre vertus cardinales considérées par Platon comme cons tituant la perf ection morale . sont : la sagesse (liée à l'idée de savoir), le courage, la tempérance et la justice. Si nous insistons, dès le début du chap itre, sur l'idée de vertu, c'est pour que l'étudiant ne confonde pas (comme cela se produit trop souvent...
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Le probl�me de la libert�.
CHAPITRE XXXIX Le problème de la liberté. 1. - ORIG INES DU PROBLÈME. C'est surtout avec les premiers théologiens chrétiens que le problème métaphysique de la liberté s'est posé. Nous voyons Saint-Augustin (534-430) se heurter à une difficulté soulevée soit par des adversaires de la religion, soit par quelques théologiens eux-mêmes soucieux d'aller au devant des objections et d'y chercher réponse : Comment concilier la prescience divine et la liberté humaine...
- L’id�e de loi et les transformations qu’elle a subies. — Valeur des lois scientifiques.
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La pens�e. — Intuition et raisonnement.
CHAP ITRE III La pensée. -Intuition et raisonne�nent. L'i ntuition, appelée aussi «connaissance immédiate», c'est ce que l' on saisit directement, sans l'intermédiaire d'un raisonnement (Lat. intuitus = coup d'œil ; vid ere uno intuitu = voir d'un seul coup d'œil). Le raisonnement , ou "connaissa nce discursive » (lat. dis currere = accomplir un parcours) c'est enchaîner une série de jugements pour aboutir à une conclusion. A. - L'IN TUIT ION DIFF É...
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L’id�e de Dieu.
CHAPITRE XL L'idée de Dieu. 1. - LE SENTIMENT RELIG lEUX. Si l'on en croyait Em. Durk heim, la religion se conf ondrait, initia lement, avec le sentiment social lui-même. Elle ne serait rien d'autre que l'aspect sous lequel la collectivité prendrait conscience de sa propre réalité. Immanente par rapport au grou pe, cette idée serait quand même transcendant e, puisque la réalité sociale domine l'individu, lui préexiste, lui survit ... La religion, ainsi...
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Int�r�t que pr�sentent, pour la connaissance de l’homme, la psychologie de l'enfant, l’�tude des soci�t�s inf�rieures et la psychologie pathologique.
CHAP ITRE XV Intérêt que prése ntent, pour la conn aissance de l'homme, la psychologie de l'en fant, l'étude des sociétés in férieures et la psychologie pathologique. I. - REMARQUES PRÉLIMI NAIR ES. Comme nous l'avons indiqué déjà, l'étude de l'Homme adulte, normal, civilisé, fut longtemps le seul objet de la ·Psych ologie ; et l'in trospection, longtemps aussi, sa seule méthode. L'intérêt que présentent, pour la connaissance de l'Homme -si nous reprenons...
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Le probl�me �conomique. — Travail et moralit�. — La propri�t�. — La question sociale.
CHAPITRE XXXIII Le problème économiq �9.-Travail et moralité. La propriété. -La question sociale. 1. - LES DÉBUTS DU PROBLÈME ÉCONOMIQUE. Dans l'Antiquité et au Moyen-Age, on ne peut parler sérieusement de problèmes économiques. Vers la fin du Moyen Age, le réveil des Villes, l'animation plus grande du commerce et des petites industries, les foires importantes (etc.) suscitent quelques soucis de régl ementation. Inspirées par l'Ég lise, deux théor...
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Exemple d’une th�orie physique et de son d�veloppement : L'ATOMISTIQUE.
CHAP ITRE XI Les principes. -Les théories. I. - LES PRINC IPES. Que faut-il entendre par cette rubrique : les pri ncipes ? Quelle en est la signification exacte, en fonct ion de notre programme d'examen ? Certains cours ou manuels (d'ailleurs bien faits) placent ici des principes généraux tels que le déterminisme expérimental, les prin cipes de déductibilité, de probabilités complémentaires, etc ... L'interprétation est plausible. Mais, dans ce cas, no...
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L’Histoire. — La causalit� en Histoire.
CHAPITRE XVI L' Histo ire. -La ca�X3H@Yg en Histo ire. I. - LE FAIT HISTORIQUE. Tout fait historique n'est pas nécessair ement humain (Eruption d' un volcan, etc.). Mais il a une répercus sion, au moins indirecte ... Inversement, tout fait humain n'est pas nécessairement historique. Les faits individuels n'intéressent l'h istorien que s'ils ont eu reten tissement, valeur causale ... Bref, un fait est historiq ue quand il a une incidence sociale. On disti...
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La Sociologie. — Les diff�rents types d’explication en sociologie, et leur valeur.
CHAP ITRE XVII La Sociolo gie. -Les différents types d'ex plication en sociologie, et le�R vale�R I. - NAISSANCE ET ÉVOLUT ION DE LA SOCIOL OGIE. Le mot sociologie a été créé par Au'guste CoMTE (1798- I857) pour désigner la science positive (• ) des sociétés. A vrai dire, il eut d'abord l' intention d'appeler Physique sociale cette science nouvelle. Mais le savant belge Quételet ayant utilisé cette expression pour désigner ses propres recherches...
- L’acte volontaire. — Le d�veloppement de la volont�.
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Le probl�me politique. — La patrie. — La nation et ses conditions d’existence.
CHAPITRE XXXIV Le problème politique. -La patrie. - La nation et ses conditions d'existence. 1. - DÉFINI TIONS. La Nation, c'est une réunion d'hommes, habitant un même territoire et ayant souvent (mais pas toujours) une origine commune. C'est aussi, nous y reviendrons plus loin, un « principe spirituel "· L'État, c'est l'aspect juridique de la Nation. Nation et État ne sont pas deux réalités nettement séparables, bien sûr. Mais l'É tat, c'est la...
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L’�tat. — L’homme dans l’�tat.
CHAP ITRE XXXV L' État. -L'homme dans l'État. 1. - PRINCIP E DE L'ÉTAT. Donc, l'É tat, c'est bien la nation, mais considérée en tant que société organisée, ayant un gouvernement, des institutions, des lois. C'est une sorte de réalité transcendante par rapport à la masse sans cesse renouvelée des individus constituant un peuple, une nation ... L' État exerce un pouvoir et assume un certain nombre de fonctions : diplo matique s, militaires, judiciaires,...
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L’�TRE ET LA VALEUR - LE PROBL�ME DU MAL
L'~TRE ET LA VALEUR LE PROBLÈME DU MAL œ Qu 'est-ce qu'un e v aleur ? La valeur est- elle obj ective ou subj ec tiv e ? li nou s faut distinguer d'abord ''aleur des choses" el • valeur d es personne s • avant d'analy ser l'a!'le par leque l la vale u r est attri buée, ou l'action qui cr~e la valeur, ou qui la réalis~ . - I - La valeur des choses semb le être objective. Quand on cherc he la ,·aleur d'une chose, on découne générale...
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�TAT ET NATION : LA CIVILISATION
ÉTAT ET NATION L A C IV ILISA TI ON Nous avons vu comment se façonne la vie personnelle de chaque individu par son engagement loyal et sa prise de con science de responsabilité morale à chacun des niveaux structurel s de la société : f amille, profession, ent reprise. Il ne peut et ne doit s'ar rêter ou se • f ermer • à auc un de ces niv eaux • car si chacun apporte avec soi des chances d'épanouissement, chacun repré sen te aussi un...
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LA RESPONSABILIT� & LA SANCTION (cours de philo complet)
LA RESPONSABILITÉ LA SANCTION La valeur morale est une possibili té ofterte à chaque homm e et en ! o nction de laquelle il mesure le sens de son existence. A ce titre c hacun de nous est respon sable de la réalisation , ow de l'éc hec, de ce bie n que nous sommes, en t ant qu'h ommes, capable s de faire. Mais ce tte r esponsabilité - là est pour ainsi dire historiq ue (ce rtains diraient aussi • mé taphysi que •). Autr e chose est la r espo...
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LES TH�MES DE L’EXISTENCE MORALE : LES PRINCIPES ET LES VERTUS
LES THÈMES DE L'EXISTENCE MORALE LES PRINCIPES ET LES VERTUS Lorsque le suj et moral réfléchit sur les raisons de son action et sur les valeurs ou les vertus que son engagement exprime, il aboutit généralement à une valeur ou à une vertu qui lui semble détenir en puissance toute la moralité et être grosse d'une quantité Inépuisable d'actions morales. Ces thèmes de J'existence m orale sont prati quement aussi nombreux que les philosop...
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�MOTIONS, SENTIMENTS ET PASSIONS
ÉMOTIONS, SENTIMENTS ET PASSIONS B Qu' est- ce qu 'un e ém o tion ? On appelle ainsi des troubles qui surgis sent dans le corps et la conscience à l'occasion de certaines situations vécues do nt l'émergen ce brusque bouleYerse notre monde habituel ou le cours de notre vie. Ainsi la peur, la colè re, le rire. A noter d'abord ce que Burloud appelle • la parenté des émotions dans le choc émotionnel •· Plus l'émer gence de la situation é...