Catégorie : Divers
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Grand oral du bac : LES PERSONNES HANDICAPEES
Méde cine fJU!fii?{iM La cécité p. 621 L'ergothérapie p. 1299 Les maladies mentales p. 2513 L'olympisme p. 2891 LES PERSO NNE S 1 HAN DICA PÉES ! mm Lo santé publique p. 3797 Les soins palliatifs p. 389 1 La surdité p. 40 11 Un han dica p est un désavan tage social résult ant d'une déficience ou d'une incapacit é, cré ant une distorsion entre les perf ormanc es me ntales ou physiques du sujet et les exigences de la société à laquelle il ap partien...
- LE MARIAGE
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Consid�rations g�n�rales sur la m�thode des sciences ; La conceptualisation du r�el; Le fait scientifique
CHAPITRE VIII Les sciences de la rnatière. -La rnéthode ex péri · rnent ale. (2• partie : Considérations générales sur la méthode des sciences ; La conce ptualisation du réel; Le fait scien tifique). 1. - LA CONC EPTUALISAT ION DU RÉEL. Sous une expression d'apparence rébarbative, -conceptualisation du réel, -se cache une notion à la fois très simple et très importa nte, comme nous l'allons voir. André LALANDE caractérise les sciences, dans leur ensemble...
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Les sciences de la mati�re. — La m�thode exp�rimentale.
CHAPITRE VII Les sciences de la Tnatière. -La Tnéthode ex péri ment ale. (1re partie : Considérations générales sur la Tnéthode des sciences ; Exa�nen critique de quelques lieux- cOTnTnuns. - Une Tnise au point nécessaire). 1. - REMARQUES PRÉALABLES. LA SCI ENCE ET LES SCIENCES. Il y a, pour ainsi dire, trois étages de réalités :l' inanimé (la matière), le vivant, l'humain. Il y a donc, en gros, trois catégories de sciences : sciences de la matière,...
- Les Sciences math�matiques : Objet et m�thodes.
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Les �tapes de la Science.
CHAPITR E V Les étapes de la Science. 1. - LES SCIENCES DANS L'ANTIQUITÉ. Dans l'exposé qui suit, nous avons seulement dessein de tracer les grandes lignes de l'évolution des idées. Il ne saurait donc s'agir d'un « historique » proprement dit, qui nous entraînerait en de trop longs développements , hors de proportion avec les dimensions de notre (( Guide », Nous avons tenu, quand même, à fournir aux étudiants certaines précisions intéressantes , don...
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L’observation. — L’hypoth�se. — L’exp�rimentation. — Analyse et synth�se
CHAPITRE IX Les sciences de la matière. -La méthode expéri rnentale. (3e partie : L'observation. -L'h ypothèse. -L'ex périm en· tation. -Anal yse et synt hèse). I. - QUE FAUT-IL ENTENDRE PAR «EXP ÉRIM ENTAL , ? C'est surtout à partir de Claude Bernard que ce terme, « expéri mental », est entré dans le langage scientifique. Il évoque l'idée d' exp érim entation, c'est-à-dire, au sens strict, une intervention du chercheur, provoquant tel phénomène sous cert...
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L’�tat. — L’homme dans l’�tat.
CHAP ITRE XXXV L' État. -L'homme dans l'État. 1. - PRINCIP E DE L'ÉTAT. Donc, l'É tat, c'est bien la nation, mais considérée en tant que société organisée, ayant un gouvernement, des institutions, des lois. C'est une sorte de réalité transcendante par rapport à la masse sans cesse renouvelée des individus constituant un peuple, une nation ... L' État exerce un pouvoir et assume un certain nombre de fonctions : diplo matique s, militaires, judiciaires,...
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Le probl�me politique. — La patrie. — La nation et ses conditions d’existence.
CHAPITRE XXXIV Le problème politique. -La patrie. - La nation et ses conditions d'existence. 1. - DÉFINI TIONS. La Nation, c'est une réunion d'hommes, habitant un même territoire et ayant souvent (mais pas toujours) une origine commune. C'est aussi, nous y reviendrons plus loin, un « principe spirituel "· L'État, c'est l'aspect juridique de la Nation. Nation et État ne sont pas deux réalités nettement séparables, bien sûr. Mais l'É tat, c'est la...
- L’acte volontaire. — Le d�veloppement de la volont�.
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La Sociologie. — Les diff�rents types d’explication en sociologie, et leur valeur.
CHAP ITRE XVII La Sociolo gie. -Les différents types d'ex plication en sociologie, et le�R vale�R I. - NAISSANCE ET ÉVOLUT ION DE LA SOCIOL OGIE. Le mot sociologie a été créé par Au'guste CoMTE (1798- I857) pour désigner la science positive (• ) des sociétés. A vrai dire, il eut d'abord l' intention d'appeler Physique sociale cette science nouvelle. Mais le savant belge Quételet ayant utilisé cette expression pour désigner ses propres recherches...
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L’Histoire. — La causalit� en Histoire.
CHAPITRE XVI L' Histo ire. -La ca�X3H@Yg en Histo ire. I. - LE FAIT HISTORIQUE. Tout fait historique n'est pas nécessair ement humain (Eruption d' un volcan, etc.). Mais il a une répercus sion, au moins indirecte ... Inversement, tout fait humain n'est pas nécessairement historique. Les faits individuels n'intéressent l'h istorien que s'ils ont eu reten tissement, valeur causale ... Bref, un fait est historiq ue quand il a une incidence sociale. On disti...
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Exemple d’une th�orie physique et de son d�veloppement : L'ATOMISTIQUE.
CHAP ITRE XI Les principes. -Les théories. I. - LES PRINC IPES. Que faut-il entendre par cette rubrique : les pri ncipes ? Quelle en est la signification exacte, en fonct ion de notre programme d'examen ? Certains cours ou manuels (d'ailleurs bien faits) placent ici des principes généraux tels que le déterminisme expérimental, les prin cipes de déductibilité, de probabilités complémentaires, etc ... L'interprétation est plausible. Mais, dans ce cas, no...
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Le probl�me �conomique. — Travail et moralit�. — La propri�t�. — La question sociale.
CHAPITRE XXXIII Le problème économiq �9.-Travail et moralité. La propriété. -La question sociale. 1. - LES DÉBUTS DU PROBLÈME ÉCONOMIQUE. Dans l'Antiquité et au Moyen-Age, on ne peut parler sérieusement de problèmes économiques. Vers la fin du Moyen Age, le réveil des Villes, l'animation plus grande du commerce et des petites industries, les foires importantes (etc.) suscitent quelques soucis de régl ementation. Inspirées par l'Ég lise, deux théor...
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Int�r�t que pr�sentent, pour la connaissance de l’homme, la psychologie de l'enfant, l’�tude des soci�t�s inf�rieures et la psychologie pathologique.
CHAP ITRE XV Intérêt que prése ntent, pour la conn aissance de l'homme, la psychologie de l'en fant, l'étude des sociétés in férieures et la psychologie pathologique. I. - REMARQUES PRÉLIMI NAIR ES. Comme nous l'avons indiqué déjà, l'étude de l'Homme adulte, normal, civilisé, fut longtemps le seul objet de la ·Psych ologie ; et l'in trospection, longtemps aussi, sa seule méthode. L'intérêt que présentent, pour la connaissance de l'Homme -si nous reprenons...
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L’id�e de Dieu.
CHAPITRE XL L'idée de Dieu. 1. - LE SENTIMENT RELIG lEUX. Si l'on en croyait Em. Durk heim, la religion se conf ondrait, initia lement, avec le sentiment social lui-même. Elle ne serait rien d'autre que l'aspect sous lequel la collectivité prendrait conscience de sa propre réalité. Immanente par rapport au grou pe, cette idée serait quand même transcendant e, puisque la réalité sociale domine l'individu, lui préexiste, lui survit ... La religion, ainsi...
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La pens�e. — Intuition et raisonnement.
CHAP ITRE III La pensée. -Intuition et raisonne�nent. L'i ntuition, appelée aussi «connaissance immédiate», c'est ce que l' on saisit directement, sans l'intermédiaire d'un raisonnement (Lat. intuitus = coup d'œil ; vid ere uno intuitu = voir d'un seul coup d'œil). Le raisonnement , ou "connaissa nce discursive » (lat. dis currere = accomplir un parcours) c'est enchaîner une série de jugements pour aboutir à une conclusion. A. - L'IN TUIT ION DIFF É...
- L’id�e de loi et les transformations qu’elle a subies. — Valeur des lois scientifiques.
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Le probl�me de la libert�.
CHAPITRE XXXIX Le problème de la liberté. 1. - ORIG INES DU PROBLÈME. C'est surtout avec les premiers théologiens chrétiens que le problème métaphysique de la liberté s'est posé. Nous voyons Saint-Augustin (534-430) se heurter à une difficulté soulevée soit par des adversaires de la religion, soit par quelques théologiens eux-mêmes soucieux d'aller au devant des objections et d'y chercher réponse : Comment concilier la prescience divine et la liberté humaine...
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La justice et l’�galit� des personnes. — La charit�. — Solidarit� et communaut�.
CHAP ITRE XXX La justice et l'égalité des personnes. - La charité. - Solidarité et commu nauté. I. - LA JUSTIC E EST UNE VERTU. Les quatre vertus cardinales considérées par Platon comme cons tituant la perf ection morale . sont : la sagesse (liée à l'idée de savoir), le courage, la tempérance et la justice. Si nous insistons, dès le début du chap itre, sur l'idée de vertu, c'est pour que l'étudiant ne confonde pas (comme cela se produit trop souvent...