Catégorie : Beaux-Arts
- Jean-François MILLET:LA FILEUSE, CHEVRIÈRE AUVERGNATE.
- Léon LHERMITTE:LA COUPEUSE D'HERBE.
- Alfred STEVENS:JEUNE FEMME A LA PLAGE.
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Henri FANTIN-LATOUR:FLEURS DE PRINTEMPS.
Henri F ANTIN -LATOUR FLEURS DE PRINTEMPS Fantin aime les fleurs, mais pas la nature. Il ne les représente que coupées et replacées dans l'atmosphère artificielle de son atelier. C' est un peu l'image de sa vie . «Je vais dans les rêves, des illusions sans doute, enfin cela rend les fous joyeux», écri t-il en 1868 . L 'HOMME Fontin, contrairemen t aux peintres de l' É cole d e Ba rb izon et aux impressi on nistes, ne tra v a i...
- Johan Barthold JONGKIND:La Seine et Notre-Dame de Paris.
- Alfred STEVENS:SUR LA PLAGE.
- William TURNER:YACHT APPROCHANT DE LA CÔTE.
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Eugène DELACROIX:JEUNE ORPHELINE AU CIMETIÈRE.
Eugène DELACROIX JEUNE ORPHELINE AU CIMETIÈRE Ce tableau n' était à l'origine qu 'une étude pour les célèbres « Scène s des ma ssacre s de Scio ». Mais il fut considéré au fil du temps comme un chef-d ' œuvre à part entière. La guerre d'indépe ndance m enée par les Gr ecs cont re les T ures, ou déb ut des années 1 820, enflamma l'imagination de Delacroix et de se s contemporains. Elle lui inspira notamment la célèbre toile...
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- James TISSOT:JEUNE FEMME DANS UNE BARQUE.
- Henry LEROLLE:LA RÉCOLTE DE POMMES DE TERRE.
- Édouard MANET:LE DÉJEUNER SUR L'HERBE.
- Léon LHERMITTE:LA MOISSON.
- René PRINCETEAU:FERME ROULANT DE SANGLIER.
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Henri FANTIN-LATOUR:NATURE MORTE AVEC UNE TASSE ET UN VERRE.
Henri FANTIN-LATOUR NATURE MORTE AVEC UNE TASSE ET UN VERRE Pour Fantin-Latour, il suffit d'un bouquet simplement fiché dans un vase pour faire une nature morte. S'il rend ici l'arrangement plus complexe, c'est pour rendre hommage à son maître, Chardin. En l 859, déià, Fontin-Lotour avait cofié une toile de Chardin. L'année suivante, i s'était rendu à une exposition comprenant vingt-cinq de ses œuvres, à la ga leri e Martinet. Une...
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Jean-Dominique INGRES:LA GRANDE BAIGNEUSE.
Jean-Dominique INGRES LA GRANDE BAIGNEUSE Tout au long de sa vie, Ingres a été fasciné par le corps de la femme. Passionné par l'Orient, il brosse de nombreux nus dans des décors de harem, avec une liberté d'interprétation qui déconcertera la critique. De 1 806 à 181 0, Ingres séjourne à la villa Médicis, à Rome, pour se familiari ser avec la peinture italienne. Son ambition est de deve nir «peint re d'histoire». S'il est tenté par d...
- Johan Barthold JONGKIND:NOTRE-DAME, VUE DU QUAI DE LA TOURNELLE.
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- Léon-Augustin LHERMITTE:LA PAYE DES MOISSONNEURS.
- Alfred STEVENS:CE QU'ON APPELLE LE VAGABONDAGE.
- Johan Barthold JONGKIND:LE PORT D'ANVERS.
- Jean-François MILLET:LA TRICOTEUSE.